Université en action

Merci de votre engagement pour l'université tout au long de l'année 2009

Edito d'Alain Beretz, président de l'Université de Strasbourg

L'année 2009, qui restera pour l'Université de Strasbourg celle marquante de sa création, touche à sa fin ; la période des fêtes s'annonce.

Tout au long de cette année, jalonnée de nombreux évènements, la vie de l'université s'est exprimée au travers d'une activité intense. Nous aurons l'occasion de jeter un regard sur ce que nous avons réalisé ensemble et sur les perspectives qui seront les nôtres en 2010, lors de la cérémonie des vœux à laquelle je vous convie qui se tiendra le 22 janvier prochain au Palais universitaire à 12h30.
Mais je voudrais aujourd'hui remercier chacune et chacun d'entre vous pour l'engagement avec lequel vous avez rempli vos missions et participé à la vie de l'université tout au long de cette année qui, pour passionnante qu'elle fut, n'en fut pas moins éprouvante. Sachez qu'avec toute l'équipe de la présidence, je suis à l'écoute des difficultés et écueils rencontrés et que nous travaillerons en commun à les résoudre.

Pour l'heure je souhaite que le temps des fêtes soit l'occasion pour vous de partager avec ceux qui vous sont chers un climat de détente et de joie.

Bonnes fêtes à toutes et à tous !

Alain Beretz

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Yves Lehmann, professeur à l'Université de Strasbourg, chargé de mission « Eucor »

« Il y a une prise de conscience chez les étudiants de l'intérêt majeur qu'il y a pour eux à étudier dans les universités de la confédération « Eucor », des avantages pédagogiques et scientifiques que leur offre une mobilité de proximité dûment validée ».

« Eucor » fête actuellement ses 20 ans : quel bilan peut-on dresser des deux décennies de son existence ?

L'objectif affiché en 1989 était double : favoriser la mobilité des étudiants, jeunes chercheurs et enseignants, et favoriser la coopération dans l'enseignement et la recherche au sein de la confédération. Certes, dans cette phase probatoire et de mise en place institutionnelle, la mobilité des étudiants est restée modeste (un peu plus de 1%), freinée qu'elle était par des problèmes pratiques de financement du transport, d'accès aux équipements des autres universités, de maîtrise de la langue du voisin, etc. Mais l'organisation d'universités d'été (en sciences de l'environnement notamment) et de séminaires spécialisés de master (sur l'ensemble de l'arc disciplinaire strasbourgeois) s'avère encourageant et gratifiant. De même, des cursus intégrés proposés par les universités partenaires connaissent un développement prometteur. D'une manière générale, la coopération transfrontalière en matière de formation et de recherche me semble riche de perspectives à court et à moyen termes : de fait, il existe d'ores et déjà une vingtaine de parcours de formation bi- ou trinationaux dans des domaines aussi différents que le droit européen, les neurosciences, les sciences de l'Antiquité, le journalisme… Il s'agit chaque fois de petits effectifs, mais d'étudiants de haut niveau et particulièrement motivés, originaires de France et de l'étranger quelquefois lointain.

Comment peut-on envisager l'avenir ? La confédération Eucor est-elle appelée à évoluer ?

La promotion d'« Eucor » a été clairement inscrit dans le Contrat d'établissement de l'Université de Strasbourg comme une priorité des relations internationales. C'est en effet un enjeu fondamental : dans l'espace du Rhin supérieur, l'Université de Strasbourg est entourée d'universités d'excellence, en face desquelles elle doit tenir son rang qui ne saurait être que le premier.
Je ressens d'ailleurs un changement de l'état d'esprit chez les étudiants : pendant longtemps, faire une mobilité dans la confédération « Eucor » était considéré comme peu valorisant, en tout état de cause comme moins exotique que de partir dans une université américaine ou australienne. Aujourd'hui, il y a une prise de conscience chez les étudiants de l'intérêt majeur qu'il y a pour eux d'étudier dans les universités de la confédération « Eucor », des avantages pédagogiques et scientifiques que leur offre une mobilité de proximité dûment validée.

Et très concrètement, comment peut-on favoriser le développement des échanges dans la confédération européenne des universités du Rhin supérieur ?
Je pense qu'une des solutions consiste à impliquer les doyens d'UFR, et plus généralement les directeurs des études aux fins de valorisation des différentes formes possibles ou souhaitables de mobilité « Eucor » dans les cursus concernés. Lorsque les maquettes pédagogiques des nouveaux diplômes seront en cours d'élaboration, on peut imaginer que cette mobilité « Eucor » devienne obligatoire (pour un semestre voire une année complète).
Il faudra aussi régler les problèmes logistiques : nous avons besoin d'une carte d'étudiant unique incluant « Eucor », qui permette un accès simple et direct aux bibliothèques, aux restaurants universitaires, et qui intègre le financement des transports entre les sites des universités partenaires. Enfin, la communication afférente à la confédération « Eucor » reste à améliorer : trop de membres de la communauté universitaire ignorent encore le fonctionnement et les objectifs de la Confédération européenne des universités du Rhin supérieur.
A l'Université de Strasbourg, nous travaillons également à une amélioration de l'accueil des étudiants « Eucor ». Un organigramme spécifiquement « Eucor » est en cours d'élaboration au sein de la Direction des relations internationales (DRI) de l'Université de Strasbourg et qui a vocation à être opérationnel dans les meilleurs délais.


Propos recueillis par Caroline Laplane

« Eucor » désigne la Confédération européenne des universités du Rhin supérieur. Celle-ci regroupe en son sein 5 universités : Bâle, Fribourg-en-Brisgau, Karlsruhe, Mulhouse et Strasbourg. Ce qui représente un potentiel de près de 100 000 étudiants, 11 000 enseignants et chercheurs et quelque 8 000 doctorants.
« Eucor » permet aux étudiants inscrits dans l'une des universités partenaires de profiter de l'enseignement et des services des autres universités (bibliothèques, restaurants universitaires, ENT…). Elle offre aux doctorants et jeunes chercheurs la possibilité d'une formation internationale à la recherche dans un très grand nombre de disciplines.

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Cérémonie consacrée aux personnels retraités

Première édition sous les couleurs de l'Université de Strasbourg, cette cérémonie a été organisée afin de remercier chaleureusement 116 personnes qui ont fait tout ou partie de leur carrière à l'Université de Strasbourg d'avant 1968 puis dans l'un des trois établissements : les universités Marc Bloch, Louis Pasteur et Robert Schuman.
60 enseignants-chercheurs et 56 personnels BIATOS partis à la retraite en 2009 se sont retrouvés de 14h à 16h au sein de l'amphithéâtre Frenkel de l'UFR de mathématique et d'informatique autour du président Alain Beretz et de Jean Déroche, secrétaire général de l'université.
Au programme de cette année : accueil en musique, projection d'un film d'animation réalisé tout spécialement par la Direction des usages du numérique, lecture de textes de théâtre par les membres de l'Artus, création chorégraphique présentée par Nathalie Boudet et son groupe d'étudiants.
Un document complet intégrant les hommages aux personnes retraitées sera édité début janvier 2010 et diffusé aux intéressés ainsi qu'à l'ensemble des composantes et services de l'université.

AV

Découvez certains de ces hommages :

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Nouvelle présidente de la Confédération des jeunes chercheurs

Elue en septembre 2009, Emmanuelle Ebel, nouvelle présidente de la CJC pour un an, est une doctorante de l'Université de Strasbourg en sciences humaines. A 26 ans, elle succède à Vincent Reillon, docteur de l'Université Pierre et Marie Curie. La Confédération des jeunes chercheurs est une fédération nationale de près de 35 associations locales de doctorants. A Strasbourg, elle s'appuie sur l'Addal(1) et les DURS(2).

Qu'est-ce qui a motivé votre engagement ?

Faire reconnaître un vrai statut des jeunes chercheurs (doctorants et docteurs en CDD) dans la vie démocratique de chaque université en France. Aujourd'hui, nous ne sommes pas bien représentés car nous ne votons pas tous dans les mêmes instances. Certains s'expriment sur les listes d'étudiants, d'autres sur celles des personnels. Nous sommes en quelque sorte en « transit », plus étudiants et pas encore titulaires. Pourtant dans le paysage national, à côté des 20 000 professeurs et 50 000 maîtres de conférences et assimilés (hors enseignants non permanents), nous sommes en tout 70 000 jeunes chercheurs (doctorants, chercheurs en CDD, ATER, etc). Plus de la moitié de la recherche en France provient des jeunes chercheurs, ce qui n'est pas anodin.

A quel chantier d'importance avez-vous déjà participé au sein de la CJC ?

Dans le cadre de la loi LRU, le ministère avait prévu de faire évoluer le cadre règlementaire qui régit le travail des doctorants. Il a suivi nos propositions. Nous sommes passés cette année de l'allocation au contrat doctoral. Nous sommes enfin sortis de cette idée de « bourse du bienfaiteur » pour s'accorder sur la mise en place d'un vrai contrat de travail sur 3 ans, avec des droits.

Et actuellement ?

Nous avons comme priorité de bien informer les jeunes chercheurs via les associations locales. Avec l'autonomie des universités, il faut maintenant défendre nos droits dans chaque établissement. Un exemple, depuis cette nouvelle loi LRU, le ministère a fait le choix de compter pour les enseignants-chercheurs, chaque heure de TD à équivalence avec une heure de TP. Tous les jeunes (hors contrat doctoral), les vacataires, les ATER n'y ont pas droit sauf décision spécifique de leur université de rattachement.
Cette disposition entraîne irrémédiablement des décalages et des inégalités de traitement entre les titulaires et les jeunes en situation de précarité qui doivent effectuer un service plus lourd que leurs aînés.
Autre chantier vraiment important, celui des jeunes chercheurs étrangers. Leur couverture sociale est actuellement gérée via le ministère des Affaires étrangères et le dispositif Egide. Ce système révèle des incohérences inacceptables. En cas de maladie chronique, d'accident, de grossesse, survenus après l'arrivée en France du jeune chercheur étranger, le système actuel ne l'indemnise pas, ce qui est un vrai scandale.
Nous allons aussi travailler à un guide du doctorant avec l'Andes(3) et allons engager une réflexion sur les conditions de travail des jeunes chercheurs. Enfin, nous espérons pouvoir proposer des critères d'évaluation de la formation doctorale à l'Aeres(4) afin de mettre à jour les bonnes pratiques.
Aujourd'hui, si beaucoup d'enseignants-chercheurs nous soutiennent, il faut que l'on tende davantage vers la reconnaissance de notre travail afin que la société puisse prendre la mesure de notre potentiel d'innovation. Hormis nos compétences spécifiques, chacun d'entre nous sait analyser, peut avoir une vision à long terme et faire des propositions concrètes.

Qu'allez-vous devenir après la soutenance de votre thèse ?

J'espère pouvoir être qualifiée et postuler sur un poste de maître de conférences. J'aime vraiment enseigner. Ceci dit, je n'ai pas d'a priori, je peux aussi passer les concours administratifs pour intégrer par exemple le réseau des DRAC. Le fait d'avoir été professionnelle de la recherche et de l'enseignement supérieur m'a donné toutes les clés pour construire mon chemin.


Propos recueillis par Agnès Villanueva


(1) Association des doctorants et docteurs d'Alsace
(2) Association des doctorants de l'Université Robert Schuman (elle devra prochainement changer de nom)
(3) Association nationale des docteurs
(4) Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur



Emmanuelle Ebel
Actuellement en 4e année de thèse en Arts du spectacle, Emmanuelle Ebel travaille autour d'un champ de recherche très peu exploré jusqu'à présent, celui de l'art de la marionnette. Elle bénéficie à Strasbourg, de la proximité du seul Centre dramatique national dédié à la marionnette, le Théâtre Jeune Public.
Allocataire et moniteur durant 3 années, elle est désormais ATER et se consacre, en parallèle à sa thèse, à ses 192 heures de cours de TD.

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Grand emprunt : l'Université de Strasbourg au cœur des débats

"Transmettez-nous les moyens, nous saurons assumer nos responsabilités", déclare Alain Beretz à Nicolas Sarkozy.

Lors de sa visite dans le Bas-Rhin, mardi 8 décembre, Nicolas Sarkozy, accompagné de Valérie Pécresse, Christine Lagarde, Eric Woerth et Jean-Marie Bockel, a visité NovAlix, start-up issue de l'IGMBC (Institut de génétique et de biologie moléculaire et cellulaire) sur le campus d'Illkirch. Il a ensuite rejoint la table ronde sur le grand emprunt qui s'est tenue à Geispolsheim en présence d'Alain Juppé et Michel Rocard. Animée par Nicolas Carboni, directeur général d'Alsace Biovalley, cette table ronde rassemblait, autour du président de la république, des ministres et des deux présidents de la commission, Alain Beretz, Thomas Ebbesen, directeur de l'Institut de science et d'ingénierie supramoléculaires (ISIS) et Valérie Lamour, maître de conférences à l'IGBMC, ainsi que trois industriels. L'université fut au c
œur des débats. Alain Beretz s'en est réjoui en soulignant que dans la société de la connaissance, c'est bien l'université qui sera le principal facteur de progrès économique, mais aussi de progrès social. "Il est important qu'aujourd'hui, a-t-il précisé, on ne considère plus le budget des universités comme une dépense mais bien comme un investissement. Transmettez-nous les moyens, nous saurons assumer nos responsabilités" a-t-il conclut.

Pour en savoir plus sur cette visite, consultez la vidéo qui figure sur le site de l'Elysée ("Le grand emprunt nous apporte des outils nouveaux"
08-12-2009).

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Brochure institutionnelle de l'Université de Strasbourg

Editée en deux versions (français/anglais et français/allemand), cette brochure présente les missions fondamentales de formation et de recherche de l'université et met l'accent sur sa réelle pluridisciplinarité, ses compétences scientifiques incontestées et son ouverture aux universités partenaires de l'espace européen et international.
Elle devrait être complétée sous peu par un dépliant sur les chiffres de l'université et d'une présentation de ses composantes et de ses unités de recherche.
Elle est disponible sur simple demande auprès du Service de la communication.

Contact
Christine Sandin-Fauvelle
christine.sandin@unistra.fr
Tél. 03 68 85 11 39

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Vœux et calendrier 2010

La carte de vœux et le calendrier 2010 de l'Université de Strasbourg auront pour thème « l'Université ouverte sur la cité ».
Ils ont été réalisés en collaboration avec l'imprimerie interne de la Direction des affaires logistiques intérieures (Dali).
Les composantes, unités de recherche et services centraux sont invités à faire remonter leurs besoins en cartes de vœux auprès du Service de la communication.

Le calendrier réalisé sur le même thème est une suite de 12 pages illustrées de photos et pliée en accordéon.
Il sera diffusé gracieusement dans les semaines à venir aux personnels de l'université qui en auront fait la demande en renvoyant une étiquette avec leurs coordonnées professionnelles à :

Christine Sandin-Fauvelle
Service de la communication
Tour de chimie
14e étage
1 rue Blaise Pascal
CS 90032
67081 Strasbourg Cedex

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Une charte graphique pour l'Université de Strasbourg

Attendue depuis plusieurs mois, la charte graphique de l'Université de Strasbourg est désormais disponible. Mené par le Service de la communication, ce projet, initié avec l'agence qui avait créé le logo, a été finalisé en collaboration avec l'agence Grafiti.

Cette charte graphique présente les principes de construction graphique retenus pour la communication institutionnelle et propose une déclinaison de ces principes pour les composantes et les unités de recherche.
Elle prévoit aussi le cas où l'Université de Strasbourg est partenaire d'une manifestation.

Vous trouverez dans votre intranet la charte complète et les éléments nécessaires à sa bonne utilisation :

  • les logos dans les différents formats
  • les conseils d'utilisation du logotype
  • les gabarits de documents
  • les conseils de mise en page

Pour en savoir plus, connectez-vous à l'ENT à l'adresse suivante http://ent.unistra.fr
puis cliquez sur la rubrique Services pratiques et enfin sur la rubrique Charte graphique.

Une prochaine session de formation à l'utilisation de la charte graphique est prévue le 1er février 2010 de 14h à 17h (cf. le programme de formations des personnels de l'université)

N'hésitez pas à nous contacter pour toute information complémentaire :
communication@unistra.fr

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Le Tour des services : Service pour la promotion de l'action sociale (SPACS)

Le Service pour la promotion de l'action sociale (SPACS) de l'Université de Strasbourg a vu ses statuts adoptés en octobre. Les membres de son conseil seront élus en janvier. Tour d'horizon avec son administratrice provisoire, Michèle Kirch.

Comment était organisée l'action sociale avant la fusion ?

Les situations budgétaires et logistiques étaient très hétérogènes avant la fusion : un  service social de 3 personnes, le SUAS, dont j'étais directrice depuis 2001, existait à l'ULP ; à l'UMB, une association présidée par le président de l'université et une amicale du personnel se partageaient en bonne intelligence les missions d'action sociale et culturelle, quant à l'URS, un service était en train de s'y mettre en place.

Comment s'est passée la fusion ?

Quelques mois avant la fusion, les différents acteurs de ce domaine se sont rapprochés et nous avons décidé de créer un Service provisoire d'action sociale, dont les statuts ont été validés aux conseils d'administration des 3 universités en juin 2008. Cela nous a permis de fonctionner pendant toute la transition et de définir ensemble les contours du futur service d'action sociale de l'Université de Strasbourg.
Finalement, l'acronyme « SPACS » est resté, mais il signifie maintenant : Service pour la Promotion de l'ACtion Sociale. C'est donc un service général de l'université, doté d'un conseil dont les membres sont élus et d'un directeur nommé par le président de l'université. En octobre dernier, ses statuts ont été adoptés par le CA de l'université. Les élections des membres du conseil se tiendront le 19 janvier prochain.
Parallèlement, l'équipe s'est étoffée, un responsable administratif a été nommé, et nous attendons une assistante sociale pour le début de l'année 2010 : Angèle Peter, qui était membre du service de l'action sociale du rectorat d'Alsace, est nommée sur ce poste.
Au niveau de la dotation financière, nous bénéficions pour l'instant de la même dotation par agent que celle dont nous disposions à l'ULP.

Quelles sont vos missions ?

Le SPACS intervient dans 3 secteurs :

  • les activités culturelles et sportives. Le SPACS organise et subventionne des activités pour le personnel et ses enfants, il en subventionne d'autres qu'il n'organise pas. Cela va des cours de danse ou d'un atelier d'écriture aux locations d'appartements pour les vacances, en passant par un voyage organisé annuel, des sorties et séjours de ski pour les enfants et les familles... Nous avons également un « club accueil international » (voir L'Actu n°14).
  • les prestations sociales. Au SUAS de l'ULP, nous nous occupions déjà de servir certaines prestations sociales pour les personnels contractuels, les fonctionnaires bénéficiant des ces aides au rectorat (allocation de garde pour les jeunes enfants, allocation parents d'enfants handicapés, aide aux séjours pour enfants, fond de solidarité...). Avec la LRU, la prise en charge des prestations sociales pour l'ensemble des personnels universitaires relève désormais directement de l'université.
  • enfin, un accord ancien avec l'IRCOS fait que nous assurons également un service de billetterie en tant qu'antenne de l'IRCOS  pour les personnels de l'éducation nationale. Cela représente un bon volume de travail.

Quels sont vos projets ?
A court terme, il nous faut consolider la situation. Comme vous l'avez vu, l'organisation qui permettra au service de fonctionner n'est pas encore complètement en place. Après les élections du conseil en janvier (cf L'Actu n°18), on y verra plus clair.
Nous attendons beaucoup, également, de la création de ce poste d'assistante sociale. Elle s'occupera notamment d'instruire les dossiers des personnes qui demandent des aides. C'est vraiment une création de poste importante car certains de nos collègues ont de vraies difficultés, qui nécessitent un accompagnement suivi.
De manière générale, le service devra continuer à être à l'écoute des demandes et des besoins des personnels et imaginatif dans ses propositions. Il devra également trouver les moyens d'une information optimale des personnels.

Propos recueillis par Caroline Laplane

Les données clés du SPACS

  • 4 ETP
  • Implantation : 43 rue Goethe
  • Contact :  03 68 85 20 00
  • Dotation budgétaire : 230 000 euros
  • Service général de l'université
  • Un directeur nommé par le président
  • Un conseil élu
  • Site : www-spacs.u-strasbg.fr

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Séminaire "Prospective & développement"

Le prochain séminaire Prospective & développement aura lieu le 7 janvier 2010 de 9h à midi dans l'amphithéâtre du Collège doctoral européen et portera sur l'évaluation des étudiants. Il fera notamment intervenir Denis Berthiaume.

M. Berthiaume, enseignant en pédagogie universitaire de nationalité canadienne, actuellement responsable du centre de soutien à l'enseignement à l'université de Lausanne, a été conseiller pédagogique à l'Université de Southampton (UK), à l'Université Mc Gill (Montréal) et pour la Conférence des recteurs et principaux des universités du Québec (CREPUQ). Il exerce encore cette fonction pour l'université d'Osaka au Japon. Son intervention aura pour titre : "L'évaluation des apprentissages des étudiants : quelles questions leur/nous poser pour évaluer connaissances et compétences ?"

Rappelons que ces séminaires sont ouverts à tous, mais que, pour favoriser les échanges avec la salle, le nombre de participants est limité. Pour y participer, inscrivez-vous par courriel auprès de Christine Sandin-Fauvelle : christine.sandin@unistra.fr

Accéder au programme du séminaire

Le dernier séminaire Prospective & développement, sur le thème d'Eucor, s'est déroulé le 12 novembre. Vous pouvez accéder : aux vidéos des interventions et au diaporama de la présentation de M. Beat Munch.

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Mise en sécurité et accessibilité des bâtiments 1 et 2 en médecine

Prestataires de l'opération
Maître d'œuvre : OTE - MAOAM architecture
Bureau de contrôle : Véritas
Coordonnateur SPS : Norisko

L'opération

Les bâtiments 1 et 2 font partie d'un ensemble de 4 blocs de constructions, représentant la Faculté de médecine, érigés entre la fin des années 50 et le début des années 60.
Le bâtiment 1 abrite deux amphis de 714 et 456 personnes. Ces 2 bâtiments sont classés en 2e catégorie.
Le bâtiment 2 abrite pour l'essentiel, la bibliothèque et l'administration (secrétariat, hall d'accueil, salle de réunions, salle d'examens...).
L'ensemble représente une surface hors-œuvre nette de 9 804 m2.
L'entrée officiel de la Faculté de médecine se fait par la rue Kirschleger

L'opération porte sur la  mise en sécurité et l'amélioration de l'accessibilité des handicapés qui comprennent succintement les travaux suivants :

Bâtiment 1

  • le désenfumage mécanique des 2 amphis.
  • le désenfumage et l'encloisonnement de 3 escaliers
  • la réfection des installations électriques et de l'éclairage de sécurité
  • l'intallation d'un SSI de catégorie B indépendant avec report d'alarme au poste de sécurité.

Bâtiment 2

  • l'amélioration de l'évacuation grâce à la création d'un escalier de 3UP intégré architecturalement sur la façade « entrée pricipale » et la rue Humann.
  • le désenfumage et l'encloisonnement de 3 escaliers, partiels pour celui du hall d'accueil afin de garder la visibilité de la cage d'ascenseur en verre de forme ovale autour de laquelle monte l'escalier.
  • la création d'un SSI de catégorie A indépendant avec une DI dans tous les locaux afin de compenser le manque de stabilité au feu (1/2h) requis (1h) avec report d'alarme au poste de sécurité.
  • la réfection des installations électriques et de l'éclairage de sécurité.

Galerie de liaison

  • absorbion partielle du volume important de l'escalier de secours créé.
  • agrandissement de la surface de plancher des bureaux existants.
  • création d'un ascenseur permettant d'une part l'accès PMR à l'amphi. bas du bâtiment 1 et d'autre part l'accès à la bibliothèque du bâtiment 2 par une circulation intérieure.
  • Architecturalement, cette galerie permettra de requalifier partiellement la façade de la Faculté de médecine sur la rue Humann, très visible du pont Mathis comme de l'Hôtel du Département.

Le calendrier de réalisation

  • Les travaux doivent  commencer au mois d'avril 2010 et se terminer pour la rentrée universitaire 2011/2012.
  • Les gros travaux se dérouleront pendant l'été 2010 dans les amphis et l'été 2011 dans la bibliothèque.

Le Budget
Le coût des travaux est estimé à 2,5 M€ HT (valeur décembre 2008).
L'opération représente un budget global de 3,5M€ HT.

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Promotion Darwin au Collège doctoral européen

Les 26 et 27 novembre ont eu lieu les Journées de réunion de rentrée du Collège doctoral européen. Ces deux journées ont permis de réunir cette année une centaine des 122 doctorants actuellement membres, dont la nouvelle promotion qui a choisi comme nom Charles Darwin.
Les doctorants, à 75% de nationalité étrangère, ont été accueillis le premier matin par Patrick Foulon et son équipe, par Erich Thaler, vice-président Relations internationales de l'Université de Bâle et par Béatrice Meier-Muller de la Direction de la recherche.
Le Recteur Claire Lovisi, le vice-président Serge Potier représentant le président de l'Université de Strasbourg ainsi que Jacques Sparfel, secrétaire général d'Eucor ont également souhaité la bienvenue aux promotions de doctorants avant que ne soit ouvert le programme de conférences prévues sur les deux journées.
Les conférences ont été filmées et seront prochainement visibles par un lien direct depuis le site du CDE : http://cde.u-strasbg.fr
Ces moments d'échanges dans de nombreuses langues ont permis aux doctorants de mieux se connaître et de parler de leurs expériences de mobilité dans le monde entier, ainsi que de leur recherche portant sur un grand nombre de disciplines.
Pour terminer la réunion en beauté, et afin de fêter les 10 ans du CDE, un spectacle de flamenco et une exposition d'art plastique avaient été organisés dans le Jardin intérieur. La « fiesta » a attiré plus de 300 personnes.
Le CDE tient à remercier chaleureusement les doctorants et toutes les personnes ayant contribué au succès de ces deux journées.

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Un conseil d'administration décentralisé de la CPU à Strasbourg

La conférence des présidents d'université organise depuis quelques mois des conseils d'administration décentralisés en région. L'objectif est de positionner les universités françaises dans le débat régional, à l'aune de leur rôle dans le développement socio-économique des territoires.

Après Toulouse et Rennes, la 3e édition de ce CA décentralisé s'est tenue à Strasbourg, le jeudi 3 décembre, en lien étroit avec la région Alsace et les collectivités. Les universitaires et les élus ont abordé ensemble des thèmes liés à l'actualité de l'enseignement supérieur et de la recherche :

  • Les schémas régionaux de l'enseignement supérieur
  • Le patrimoine immobilier et l'intervention régionale
  • L'évolution des pôles de compétitivité
  • Le financement de la recherche, du transfert de technologie et de l'innovation
  • La vie étudiante et l'aménagement des campus
  • L'engagement dans le développement durable.

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Lutte contre le sida : le programme du SUMPS à l'IUT de Haguenau

Le Service universitaire de médecine préventive et de promotion de la santé (SUMPS) s'engage chaque année aux côtés des associations à l'occasion de la Journée mondiale de lutte contre le SIDA, en organisant des actions d'information et de sensibilisation des étudiants aux risques d'infection par le VIH et les hépatites et en favorisant l'accès au dépistage.

  • Du 4 au 13 janvier 2010 : affiches, mise à disposition de documents de prévention.
  • Consultations de dépistage :

    • Lundi 11 janvier 2010 : entretiens pré-test et prélèvements sanguins de 9h30 à 13h
    • Mercredi 13 janvier 2010 : remise des résultats de 9h30 à 13h

Pour toute information complémentaire vous pouvez contacter :
Bernadette Payot
SUMPS - 6 rue de Palerme - 67000 Strasbourg
Tél. 03 68 85 50 33
Courriel : bernadette.payot@unistra.fr

L'info en +
Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche s'associe à l'opération "Sortez couverts" parrainée par Christophe Dechavanne. Les universités et les résidences étudiantes vont être équipées de distributeurs de préservatifs à 20 centimes d'euros l'unité ou 2 euros le paquet de douze.
Pour en savoir +

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Boutique de l'université

La boutique de l'Université de Strasbourg s'est dotée d'objets dont vous pouvez faire l'acquisition auprès de :
Françoise Gast
Service de la communication
Tour de chimie
1 rue Blaise Pascal
Tél. 03 68 85 11 34
francoise.gast@unistra.fr


Vous pouvez vous les procurer en prestation interne en établissant un bon de commande à l'ordre du Service de la communication ou les acquérir à titre personnel (paiement par chèque ou espèces).

Prix HT Prix TTC
Stylo bic 0,42 0,50
Pack stylo/post-it 0,83 1,00
Presse papier en verre 23,00 27,50
Valisette PVC 3,70 4,40
Porte documents en tissu 5,22 6,25
Bloc 50 feuilles A4 1,04 1,24
Bloc 50 feuillles A5
0,42 0,50
Pochette cartonnée à rabat 0,42 0,50
Echarpe 20,90 25,00
Parapluie golf 13,37 16,00
Parapluie pliant 9,19 11,00

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ENTRETIEN

Yves Lehmann, chargé de mission "Eucor"

L'objectif affiché en 1989 était double : favoriser la mobilité des étudiants,  jeunes chercheurs et enseignants ..

CHIFFRES EN TÊTE

EUCOR  2008/2009

  • 96 631 étudiants (Strasbourg, Mulhouse, Bâle, Fribourg en Brisgau et Karlsruhe)
  • 41 060 pour l'Université de Strasbourg
  • 7 621 pour l'Université de Haute-Alsace

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